Whistler, un tout autre Méribel
Et nous voilà partis pour la journée à Whistler, un village de montage à presque deux heures de Vancouver, où il fait bon skier. Nous choisissons cependant de profiter du soleil et des promenades que cela nous réserve.
Granville Island
Le temps n’était pas de notre côté, mais la visite de la presqu’île Granville Island est restée agréable. C’est avant tout un grand marché public, entouré par une partie du port qui semblait alors n’être qu’un simple port de plaisance.
Stanley Park
Un autre Vancouver: le Nord
Quelques jours après notre arrivée, nous décidons de prendre le sea bus pour traverser le bras d’océan et atteindre North Vancouver…
- Une compagnie tout aussi agréable -
- Vue sur Vancouver Downtown pendant le retour -
First days in Vancouver
- National Art Gallery -
- Waterfront -
– Robson street, l’avenue des magasins -
- Premier couché de soleil canadien, la météo est de notre côté -
798 Dashanzi Art District
Toujours pendant les vacances, nous voilà déambulant dans les rues originales de ce quartier d’artistes. Quoique : les artistes y sont de moins en moins, le lieu est devenu bien trop touristique. Mais cela n’est pas sans raison. Ce quartier est magnifique, emplit de ruelles toutes plus déconcertantes les unes que les autres, entre friperies, galeries d’art, et studio télé. Entre art classique chinois, moderne, et participatif, il y a de tout et pour tous les goûts dans ces rues. Nous y passons donc une longue et agréable journée, et nous y mangeons bien, français, un luxe que nous ne connaissions plus.
Et le Summer Palace
Lundi 7 octobre, on visite le Palais d’été. Historiquement cadeau d’un des empereurs pour sa mère, il est très agréable à visiter. Entre palais, tours et étang, on ne sait plus où donner de la tête. Et on arrive au bon moment pour admirer ce magnifique canard gonflable de 18m de haut (!!) designé par l’artiste finlandais Florenijin Hofman qui a pris ses quartiers au palais d’été pour un mois après avoir traversé 13 villes de 10 pays. Et oui, le « canard jaune » a prévu de faire le tour du monde.
- Suzhou Street, une fausse reproduction de ville marchande, à laquelle seul l’empereur avait le droit d’accéder -
Entre taichi, mahjong et salon de thé…
Il nous reste un peu plus d’une semaine de vacances pour profiter de Pékin. On se fixe donc un programme serré où l’on mêle diverses activités diurnes ou nocturnes. Le premier jour, c’est visite du Parc Ditan – placé à côté des temples du Lama et de Confucius. Nous passons ensuite à Eatea, un des salons de thé les plus réputés de la ville.
Le parc est vivant. Nous y trouvons des personnes de tout âge affairées à un combat de criquet, à des exercices d’assouplissement, ou en compétition dans des jeux inconnus de cartes et de dés chinois. Les choses à faire ne manquent pas. L’atmosphère y est très agréable.
Inner Mongolia
27 Octobre. Après onze heures passées dans un train de nuit des plus confortables – bien que sans compartiment – nous voici à Hohhot, point de départ de notre trip au fin fond de la Mongolie Intérieure. Nous y séjournons trois jours, dans une auberge de jeunesse tenue par un groupe de motard à l’anglais hésitant. La ville n’est qu’un point de transit, le point de rencontre avec Rocky, notre guide qui nous amènera dans les steppes et le désert, mais nous profitons quand même de nos quelques jours pour visiter marchés et temples. Notre groupe de quinze est séparé en plusieurs auberges, mais nous nous retrouvons le samedi soir pour savourer tous ensemble une délicieuse fondue mongole.
- Une mère et son enfant devant un marché de bijoux -
- Le Temple Da Zhao et ses moines bouddhistes -
- Des billets contre un souhait –
- Cette fameuse fondue mongole, un récipient contenant trois bouillons et divers ingrédients à y tremper –
Dimanche soir, rencontre avec Rocky qui nous conduit à 200 kms de là, dans des steppes répondant au nom de Xilamuren. Nous y arrivons avec la nuit, et sommes accueillis dans ce que j’appellerais un camps touristique de yourtes par des mongoles en habit traditionnel et leur chant de bienvenue. Nous découvrons avec appréhension les yourtes, qui bien que faiblement isolées et bien trop infestées d’araignées à mon goût, sont très confortables, comprenant un grand matelas circulaire. Les repas servis par le restaurant sont absolument délicieux. La cuisine mongole me plaît définitivement plus que ce que nous trouvons à Pékin.
Lundi, je me lève à 6h dans l’espoir de voir se lever le soleil dans la plaine. A 7h30, il fait jour, mais le soleil ne s’est pas montré. La déception ne nous arrête pas, on se prépare pour une matinée de cheval dans les steppes. On s’arrête pendant la promenade autour du seul point d’eau de la région, un « fleuve » sacré si mince qu’on se demande si ce n’est pas une simple flaque. Effectivement, la région manque beaucoup d’eau. Ceci justifie peut-être l’absence de douche au camps. La matinée est très agréable, nous nous arrêtons aussi boire un thé mongole et goûter un fromage qui ressemble à un carré de lait concentré séché. Mon cheval est le plus nerveux du groupe, il donne des coups de pied aux autres. Je suis ravie de le monter.
- Notre compagnon dans l’attente -
Puis nous partons dans le désert. Ou devrais-je dire parc d’attraction ! Entre petit-train et spectacle traditionnel mongol, on ne sait plus où donner de la tête. Ah si, les chameaux à la queue-leu-leu que nous montons pendant une quinzaine de minutes . Les paysages sont malgré tout splendides, on se régale. Il y a même un cinéma 5D !!!
Et nous voilà partis pour Baotou, cœur économique de Mongolie Intérieure. Nous passons la nuit dans un authentique hôtel de charme, dans la rue des « Poupou massages ». C’est fantastique. Nous ne visiterons pas grand chose de cette ville qualifiée par le Routard de « poussiéreuse et polluée » sinon cette unique rue.
Suzhou, la Venise chinoise
Malgré la difficulté à se lever vu que nous étions sortis la veille, les plus valeureux partent à Suzhou le deuxième jour à l’aube, à 50kms de Shanghai, afin d’y admirer les parcs et canaux. Nous passons la journée dans cette ville agréable, où nous profitons du Jardin de la Politique des Justes, et des canaux.